La Responsabilité Sociale et Sociétale (RSE) dans une organisation est l’application concrète du concept du Développement Durable, défini en 1987 par « un développement qui répond aux besoins du présent, sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs ».
En 2023, tout le monde s’accorde à dire qu’il n’est plus possible d’attendre pour en appliquer les contours dans tous types d’organisations. La crise de la COVID a fait émerger les consciences.
Les réglementations de plus en plus nombreuses en France et en Europe sont également de nature à mobiliser les entreprises publiques et privées autour de ces grands enjeux. Il faut s’en réjouir !
Agir pour le climat
Afin d’atténuer le changement climatique, et s’adapter à ses conséquences sur l’humain et l’environnement, tous les secteurs d’activités doivent réduire leurs émissions de gaz à effet de serre. Dans leur stratégie de transformation durable, ils agissent notamment sur le bâtiment et l’énergie, la mobilité, les achats, le numérique, l‘écoconception des produits et/ou services ainsi que les déchets.
Améliorer les conditions humaines
Les organisations doivent transformer leur système de management pour offrir une qualité de vie et des conditions de travail stimulantes et respectueuses à leurs collaborateurs. Elles promeuvent la diversité, le bien-être et la santé environnementale de leurs collaborateurs, leur permettant ainsi de rester attractives. Leur gouvernance instaure des comportements éthiques et responsables auprès de l’ensemble de leurs parties prenantes externes. Cela passe notamment par la vérification du respect des droits humains de leurs fournisseurs, et l’amélioration de la satisfaction de leurs usagers.
Préserver les ressources naturelles
Afin de lutter contre l’effondrement de la biodiversité, la déforestation et la pollution de l’air, de l’eau et des sols, tous les acteurs de l’économie doivent agir pour la protection de l’environnement. Grâce à leur stratégie RSE, ils optimisent l’utilisation des ressources naturelles dans leur processus d’achat, de production et d’élimination. Ils mènent des actions de restauration des écosystèmes et des continuités écologiques sur leur territoire.
Lorsque l’on a décidé d’agir durablement, la plus grande difficulté est d’arriver à prioriser les actions, tant les défis à relever sont nombreux et complexes.
La méthode la plus efficace réside dans la réalisation d’une mesure de la « Tendance RSE® » de sa structure pour identifier les zones de risques (Risques financiers, réglementaires et en termes d’attractivité).
A l’issue de cette première tendance, nous réalisons un « Scoring Global THQSE® » de l’organisation afin d’être en capacité de définir les grandes priorités, et le plan d’action à mettre en œuvre pour répondre concrètement à ces enjeux.
Des déclinaisons sectorielles existent pour de nombreux secteurs et sont adaptées aux réglementations et contextes spécifiques. Cette démarche (l’un des outils des sociétés et territoires à mission) intègre l’ensemble des critères RSE et fait l’objet de contrôle par un organisme tiers indépendant.
18 à 24 mois sont ensuite nécessaires pour mettre en œuvre les process adaptés à une transformation durable.
En définitive, tout ceci est assez simple, dès lors que les dirigeants s’approprient ces enjeux et que la méthode est maîtrisée.
