Depuis maintenant plus de deux ans, nous vivons une crise qui a eu pour conséquence de modifier les équilibres (précaires) mondiaux auxquels nous nous étions habitués, par convenance, facilité ou parce que nous ne nous posions pas les bonnes questions pour l’avenir (de notre planète).
Outre la privation de liberté que, particulièrement, les pays occidentaux comme le nôtre ne connaissaient plus, ces deux dernières années ont conduit à des déséquilibres de toute nature qui sont encore bien présents chaque jour : une inadéquation entre l’offre et la demande, une accentuation des inégalités entre les pays et régions du monde – notamment dans la capacité à développer et obtenir des traitements contre la Covid, un choc psychologique pour tous et principalement pour les générations Y et Z, et les suivantes.
Bien que nous ayons montré une capacité d’adaptation considérable en termes économiques et sociétaux ainsi qu’une résilience commune, le chemin est encore long pour transformer en opportunités l’ensemble des nouveaux paramètres apparus dans nos vies. Mais tout reste possible si l’on prend conscience des enjeux qui nous attendent.
Ces enjeux sont dans un premier temps, environnementaux : mobilisons-nous pour préserver notre environnement et profitons de ce message d’alerte pour arrêter de consommer compulsivement.
Ces enjeux sont aussi liés aux relations humaines : cessons de réagir en égoïstes en privilégiant l’individualisme mais projetons-nous plutôt dans l’intérêt commun qui constitue le seul moyen de progresser.
« Seul, on va plus vite, ensemble, on va plus loin ! » ; cette citation, désormais utilisée à l’envi, illustre bien une nécessité de lien social généralisé.
Par ailleurs, même si des moyens comme Teams, Skype et autres applications nous permettent d’éviter des déplacements parfois excessifs, je n’ai sincèrement plus envie de faire des apéritifs entre amis via ces outils, ni de vivre reclus : chacun d’entre nous gardera à jamais en tête mars 2020….
Malgré des conditions de vie moins confortables, des guerres et autres épidémies, les générations précédentes ont su nous transmettre de précieux biens et quelques enseignements.
Pensons aux générations futures. C’est avec ces convictions chevillées au corps que notre approche de la RSE et que notre sens de la collectivité trouvent toute leur nature chez Grant Thornton.
